Validez les Acquis de votre Expérience Numérique (VAEN©) : les « fake news » (infox) !

Découvrez le dossier sur les fake news : un article + un guide + un quiz pour tester vos connaissances et obtenir votre VAEN© !

Suivez le guide et passez le quiz sur les fake news ! Vous obtiendrez peut-être votre attestation de VAEN© « fake news » du premier coup. Les ressources qui suivent s’adressent aux adultes, adolescents et enfants. Elles ont été constituées et compilées par SpotPink pour aider chacun à démasquer les infox et à devenir un expert capable de débusquer les fake news.

1) Passez le quiz (20 questions)

Cliquez sur le bouton rose « Commencer le quiz ! » ci-dessous (si celui-ci ne s’affiche pas, il s’agit sans doute d’un problème de navigateur et/ou de blocage des cookies. Si tel est le cas, changer de navigateur, vérifiez les cookies bloqués et/ou rafraîchissez la page) :
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[*Voir plus bas : Mentions légales et politique de protection des données personnelles]

En préambule

Phénomène mondial à l’impact planétaire, les informations fallacieuses se diffusent et se partagent très facilement grâce à l’Internet et aux médias sociaux. Ceux-ci sont des chambres d’écho idéales pour des communautés de personnes rassemblées en raison de centres d’intérêt partagés ou de valeurs communes. Les appareils mobiles, de leur côté, simplifient l’accès et facilitent le partage en temps réel de toute nouvelle information « qui tombe ». Tandis que nos aïeux lisaient le journal avant de commenter ou débattre de l’actualité de la veille, chacun de nous peut à présent « faire l’actualité » et/ou se faire le relai d’une actualité possiblement créée de toute pièce par un parfait inconnu.

Le débat démocratique – si cher à nos politiques – est mis à mal (car désormais truqué) par l’action des pourvoyeurs d’informations mensongères sur Internet et les médias sociaux. C’est dans ce contexte que la loi contre la « manipulation de l’information » a été adoptée le 20 novembre 2019, après un parcours du combattant législatif pour l’adoption de ses deux textes très controversés.

Toute la difficulté avec les fake news réside dans le fait qu’il peut être difficile – voire impossible – de démonter les arguments des fossoyeurs de l’infox ou des adeptes d’une théorie du complot. Comment prouver, pour rétablir la vérité, qu’un fait – nul et non avenu – n’existe pas, alors même que celui-ci est diffusé, « liké » et partagé par nos relations, voire par des médias très crédibles ? Comment prouver qu’une théorie est fausse ou que quelque chose n’a pas lieu d’être (car elle n’existe pas) sans alimenter le débat, ce qui contribue par là même à faire la publicité de la fausse information ?

La vérité s’oppose parfois à la croyance lorsque Internet et les médias sociaux servent de faire-valoir d’une appartenance groupale ou de caisse de résonance à un phénomène de foule… La désinformation est finalement devenue une nouvelle arme de guerre très facile à manier avec les technologies de l’information et de la communication…

Avec l’expansion des fake news, accessibles via le canal de communication Internet, la vérification des faits (prérequis à l’exercice du métier de journaliste), devient une compétence attendue de chaque citoyen. Cependant, et puisqu’il s’agit là d’une compétence, la capacité de faire preuve de discernement s’acquiert mais aussi s’entraîne (car à défaut, elle pourrait disparaître).

Selon Gérald Bronner «  Il est toujours plus facile de croire que d’acquérir un savoir basé sur des preuves »[17]. C’est effectivement plus économique du point de vue cognitif et en cela, la paresse intellectuelle est l’une des faiblesses de la nature humaine. Mais ce n’est pas la seule !

Comme nous l’expliquons dans le dossier téléchargeable par ce lien, il existe plusieurs facteurs psychologiques qui sont susceptibles d’amener les personnes à croire en des fausses informations ou à adhérer à une non vérité (vérité habillement déformée au point de n’en être plus une).

Pourtant, les plus crédules ne sont pas pour autant des imbéciles… Bien malin est celle ou celui qui ne se fait pas prendre par une fake news, mais cela ne signifie pas qu’il faut forcément être un imbécile pour croire à une fake news ! Le cerveau fonctionne de telle manière qu’il est victime de biais cognitifs (agissant naturellement comme autant de distorsions de la perception et de la pensée), sans qu’il soit question d’une quelconque débilité. Par ailleurs, des motivations ainsi que des besoins entrent également en jeu. Selon la nature de l’exposition à l’information (voir l’effet de simple exposition décrit par Robert Zajonc), la maturité dans l’utilisation de l’Internet et des médias sociaux et aussi conformément au besoin d’appartenance (voire de conformisme) à un groupe social, l’individu le plus normal peut-être enclin à créditer une fake news.

La célèbre expérience de Solomon Asch a démontré, en 1956, l’influence du besoin de conformisme sur les décisions prises par un individu au sein d’un groupe. Par conformisme, les individus ont soutenu des réponses allant non seulement contre l’évidence, mais aussi contre leur conviction personnelle acquise au moyen de leur acuité visuelle.

Nous espérons que la lecture de ce dossier vous permettra non seulement de découvrir des pistes pour déjouer les pièges cognitifs, pour sensibiliser nos enfants aux dangers que représente la désinformation et finalement, mais aussi de contribuer à être de meilleurs modèles pour eux concernant l’usage du numérique en matière d’information.

Apprendre à repérer les infox est une compétence qui s’acquiert – quel que soit l’âge – et il s’agit là d’une responsabilité citoyenne. L’Internet et les médias sociaux ne sont pas un espace de non droit et, partager une fausse information revêt une dimension engageante (y compris pénalement), car elle participe d’une certaine défiance à l’égard des institutions politiques et médiatiques. Le partage d’une fake news peut notamment être le signe d’une appartenance à une communauté idéologique ou d’une certaine paresse de l’esprit…

[17] Université Paris Descartes. (2019). Fake news. Les fake sciences. Les cahiers de l’Université Paris Descartes, (31). Consulté sur https://cahiers.parisdescartes.fr/fake-news-fake-science-info-intox-infox

2) Découvrez le guide !

Guide VAEN fake news

Le guide est disponible sur Amazon :

Sommaire du dossier (PDF, 28 pages, 4,1Mo) :


Télécharger gratuitement le guide (sans les questions du quiz)

3) Obtenez la VAEN© (Validation des Acquis de votre Expérience Numérique) sur le sujet des fake news (infox) !

Un score de 81% minimum de bonnes réponses (niveau 1) au quiz accessible ci-dessus et ci-après est nécessaire pour obtenir votre attestation de VAEN© (Validation des Acquis de l’Expérience numérique) : connaissances et compétences pour débusquer les « Infox ».

Vous pouvez choisir de répondre au quiz avant ou après avoir lu le document intitulé « VALIDATION DES ACQUIS DE L’EXPÉRIENCE NUMÉRIQUE (VAEN©) – MODULE : LES FAKE NEWS« , consultable et téléchargeable au format PDF sur le site de SpotPink par ce lien : https://caroleblancot.com/wp-content/uploads/2020/10/VF-VAEN-fake-news.pdf

À l’issue du quiz vous connaîtrez votre niveau de maîtrise du sujet de la désinformation et pourrez aussi découvrir les bonnes réponses aux 20 questions qui vous auront été posées (sur un set de 40 disponibles).

Si (et seulement si) vous êtes en mesure de prouver que vous avez obtenu le score Niveau 1, pour obtenir votre attestation de VAEN© – « Les fake news », adressez-nous un courriel à contact@spotpink.com en joignant la capture d’écran du score obtenu à la fin du quiz ainsi que vos prénoms et nom. Nous vous adresserons en retour votre attestation de VAEN© pour ce module (contenant votre niveau et votre note sur 20).

Exemple de résultat obtenu à l’issue du quiz (ne permettant pas d’obtenir l’attestation de VAEN© sur les fake news) :

Exemple de résultat au quiz (Score 3 : 41 à 60% de bonnes réponses)

Il est à noter qu’une correction de toutes les réponses peut également être envoyée à quiconque aura obtenu un score 1 (preuve à fournir) à condition d’en formuler la demande.

Spécimen de l’attestation de VAEN© qui sera envoyée en cas de réussite :

Spécimen d'Attestation de VAEN© envoyée en cas de réussite

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Quelques ressources

Ouvrages

  • Bronner, G. (2003). L’empire des croyances. Paris : PUF.
  • Bronner, G. (2013). La démocratie des crédules. Paris : PUF.
  • Bronner, G., & Krassinsky, J. P. (2018). Crédulité & rumeurs: Faire face aux théories du complot et aux fake news. France: Le Lombard.
  • Cordier, A. (2015). Grandir connectés: les adolescents et la recherche d’information. Caen, France: C & F Éditions.
  • Dagnaud, M. (2013). Génération Y. Les jeunes et les réseaux sociaux, de la dérision à la subversion. Paris, France: Presses de sciences Po.
  • Froissart, P. (2010). La rumeur. Histoires et fantasmes. Paris, France.
  • Huyghe, FB (2018). Fake News – La grande peur. Paris : VA.
  • Jehel, S. (2011). Parents ou médias, qui éduque les préadolescents ? Enquête sur leurs pratiques TV, jeux vidéo, radio, Internet Toulouse, Éditions Érès.

Articles et sites

Revues

Vidéos

Il n’y a pas d’âge pour apprendre à débusquer les infox !

QVT et bien-être au travail : comment s’y retrouver dans l’offre pléthorique des solutions digitales ?

En matière d’évaluation et/ou d’amélioration du niveau de bien-être au travail le pire côtoie le meilleur parmi les solutions du marché

Les Prix BE.DIGIT ont été créés pour récompenser les meilleures plateformes et applications mobiles

L’état actuel de la recherche scientifique permet tout à fait de connaître les facteurs contributifs de façon causale au bien-être au travail, tout comme ceux qui sont neutres à son égard et ceux qui lui sont préjudiciables.
Le travail d’analyse mené dans le cadre du projet BE.DIGIT a pour intérêt de mettre en avant les plateformes et applications mobiles au service du bien-être au travail qui apportent une réelle valeur ajoutée du point de vue psychologique. L’étude comparative a donc été réalisée pour conseiller voire alerter les gestionnaires d’entreprise désireux d’utiliser les solutions et services des prestataires disponibles sur le marché mais, qui n’ont pas le temps de les évaluer.
Pour répondre à la question « En quoi et comment les solutions évaluées mesurent-elles ce qu’elles prétendent mesurer (la QVT, le bien-être au travail) ? », un jury composé de 5 personnes a été constitué avec des psychologues praticiens et des chercheurs.
Après avoir écarté une trentaine de solutions qui n’entraient pas dans le cadre du bien-être au travail (entendu comme santé mentale positive car c’est sa définition propre), les organisateurs des Prix BE.DIGIT se sont rapprochés de vingt et un acteurs laissant supposer qu’ils s’occupent effectivement de ce sujet. Ces acteurs ont été sélectionnés car ils s’affichaient publiquement comme proposant une solution visant l’évaluation et/ou l’amélioration du niveau de bien-être des salariés.
Sur le même principe que celui du guide Michelin, un total de 321 étoiles a été attribué à l’ensemble des dix nominés sur l’ensemble des 123 critères répartis en 18 thèmes.
Or, 49% du total des étoiles distribuées lors de cette édition a été empoché par trois solutions qui se distinguent ainsi nettement des autres.

Les livrables du projet

Un rapport global d’analyse a été rédigé pour faciliter la prise de décision dans un marché d’offres pléthoriques.
Dans la première partie du rapport, des rappels d’ordre sémantiques et juridiques sont effectués afin de poser le cadre dans lequel l’analyse s’est inscrite.
Dans la deuxième partie sont détaillés les finalités du projet, la méthodologie utilisée pour l’étude des solutions, les résultats détaillés (par solution nominée et tous blocs confondus), les solutions lauréates et le bilan. Enfin, sont présentées en annexe :

  • la cartographie des solutions digitales d’évaluation et/ou d’amélioration du bien-être au travail,
  • les fiches de présentation des cinq solutions lauréates,
  • le radar comparatif et les radars des trois solutions lauréates de la catégorie « Top solution », dont les trois lauréats de cette édition sont :
    • 1- Moodwork (54 étoiles, soit 17% du nombre total d’étoiles distribuées)
    • 2- Wittyfit (53 étoiles, soit 17% du nombre total d’étoiles distribuées)
    • 3- Motiva (49 étoiles, soit 15% du nombre total d’étoiles distribuées).

Acheter le rapport global d’analyse de solutions digitales d’évaluation et/ou d’amélioration du niveau de bien-être au travail :


Rapport d’analyse Prix BE.DIGIT 2019



Auteurs : Carole Blancot, Céline Couret, François Geuze, Sarah Mokaddem, Pierre-Eric Sutter
Nombre de pages : 98
Nombre de signes : 192 647
Format : PDF (8,4 Mo)

Pour citer le rapport BE.DIGIT 2019 :

Carole Blancot, Céline Couret, François Geuze, Sarah Mokaddem, Pierre-Eric Sutter (2019), « Rapport global d’analyse de solutions digitales d’évaluation et/ou d’amélioration du niveau de bien-être au travail », mars-lab, SpotPink.

Rapport BE.DIGIT 2019

Synopsis :

Depuis 2015, nombreuses sont les startups qui se sont créées dans le but d’améliorer le bien-être au travail ou la qualité de vie au travail (QVT). Surfant sur la vague de « l’injonction au bonheur[1] » qui caractérise notre société actuelle, la plupart de ces entreprises ont été lancées par de jeunes « start-uppers » qui pour la plupart vendent du bien-être comme on vend des boites de petits pois. La quasi-totalité d’entre eux ne sont en effet ni psychologues ni médecins mais issus essentiellement d’écoles de commerce. Ils n’ont quasiment aucune notion en matière de santé au travail[2] et leur but semble surtout de faire un LBO plutôt que de s’occuper de la psyché des salariés. Ils mettent en avant le côté « fun » et « hype » de leur démarche or le bien-être au travail n’a rien d’une farce puisque ce concept, fort mal compris, touche à la santé mentale des salariés. Il est expliqué dans ce rapport qu’il ne suffit pas, pour contribuer réellement à la QVT ou au bien-être des travailleurs, de proposer des sondages d’humeur ou d’opinion au moyen de smiley de couleur rouge, jaune, verte ni d’inviter les salariés à écouter des musiques de relaxation, de participer à un tournoi de babyfoot, de bénéficier de massages, de manucures ou encore de proposer des services à la personne (repassage ou autre). En effet, deux chercheurs de l’université américaine de l’Illinois[3] se sont intéressés aux effets de « wellness program » au bureau. Ils ont démontré scientifiquement que ces programmes n’ont aucune influence sur le bien-être au travail (entendu dans son acceptation de santé mentale positive au travail). Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas promouvoir le bien-être au travail, bien au contraire… Mais, encore faut-il savoir de quoi l’on parle pour le faire à bon escient avec les paradigmes et méthodologies adéquats.

Le lecteur découvrira dans ce rapport d’étude la différence entre le bien-être eudémonique et le bien-être hédonique, ce qui l’aidera à mieux cerner la vocation première de chaque solution du marché. Les chercheurs montrent que ne se focaliser sur le bien-être hédonique peut être dangereux pour la santé, notamment parce que la course au plaisir permanent (qui s’apparente à une addiction) peut devenir angoissante et causer de la dépression, voire des troubles cardiovasculaires.

Après lecture de ce rapport, le lecteur pourra évaluer la pertinence de chaque solution en posant les bonnes questions. Dix pages sont notamment consacrées aux points à vérifier en termes de respect des dispositions du RGPD[4] par ces acteurs qui sont des sous-traitants, voire des co-traitants.


[1] Il est fait référence à l’ouvrage de Pascal Bruckner, L’euphorie perpétuelle : essai sur le devoir de bonheur, Grasset 2002.

[2] Lors de l’édition 2019 du « HappyTech Summit » (qui s’autoproclame « le premier événement en France dédié à l’innovation technologique au service du bien-être en entreprise »), la question suivante a été posée individuellement à tous les exposants : « Votre solution permet-elle d’exercer l’obligation de sureté en matière de santé au travail tel que régi par la série des articles L4121 du Code du travail ? ». 100% des répondants ignoraient qu’il y avait des obligations légales en matière de santé mentale au travail…

[3] Le Figaro. (2018, 12 septembre). Les programmes de bien-être au travail étrillés dans une étude. Récupéré 14 mai, 2019, de http://www.lefigaro.fr/decideurs/vie-bureau/2018/09/12/33008-20180912ARTFIG00004-une-etude-demontre-l-inefficacite-des-programmes-de-bien-etre-au-bureau.php

[4] Règlement n°2016/679, dit règlement général sur la protection des données (GDPR : The EU General Data Protection Regulation).

Télécharger la cartographie BE.DIGIT 2019 :

Cartographie BE DIGIT 2019

Télécharger le radar de trois solutions lauréates de l’édition 2019 des Prix BE.DIGIT :

Télécharger le radar de trois solutions lauréates de l’édition 2019 des Prix BE.DIGIT 

RGPD : le glossaire et la bibliographie du DPO (DPD)

Pour se conformer au RGPD (démarches Privacy by default & Privacy by design), les organisations ont désormais recours à des professionnels exerçant un nouveau métier, celui de DPD (Délégué à la Protection des Données) ou DPO en anglais (Data Protection Officer). 16 000 DPO ont d’ores et déjà été désignés en France par plus de 50 000 organismes.

L’exercice de ce nouveau métier requiert la possession de 17 compétences et savoir-faire listés par la délibération n° 2018-318 du 20 septembre 2018 portant adoption des critères du référentiel de certification des compétences du délégué à la protection des données (DPO).

Nombreux sont les acronymes faisant partie du jargon de la profession. Un article publié sur le blog I Love SIRH recense plus de 100 termes ou acronymes tout en proposant un extrait de la liste des sources documentaires de référence du DPD.

Voir l’article « RGPD : le glossaire et la bibliographie du DPO« .