10 différences entre un #psychologue et un #coach

PsyPr2.2a2 (VF)Pour ce qui concerne les consultations en cabinet, en institution de soins, en hôpital de jour, etc., nombreux sont ceux qui s’interrogent encore sur la (les) différence(s) entre un psychologue, un psychiatre, un psychothérapeute, un psychanalyste… L’objet de ce billet n’est pas de les éclairer sur ce point.

En revanche, l’objet de ce billet est de répondre à la question suivante « Quelles sont les différences entre un psychologue et un coach ? »

En entreprise, nombreux sont ceux qui croient encore que leur coach est « psychologue » soit, parce que lui même dit l’être, soit parce qu’il use largement du préfixe « psycho » pour mieux légitimer sa présence et son action.

Etymologie du terme psychologue

Ceux qui ont fait, comme moi, du Grec ancien savent que >
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psychée (orthographié selon notre alphabet et non l’alphabet phonétique), est un terme qui désigne tout ce qui a trait à la pensée, au psychisme ou à l’esprit.

Si « psycho » est un préfixe, « logue » est un suffixe.
Du grec ancien >

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logos, signifie l’étude (et par extension, ‘la science’).

Confession pour le lecteur : c’est en 5ème, en cours de Grec ancien, que j’ai décidé que j’exercerai le métier de psychologue. Ensuite, je me suis « accrochée » pour tenir la promesse que je m’étais faite, si jeune, à moi même. Lisez la suite…

Le (ou la) psychologue est donc une personne qui, non seulement a choisi (littéralement) d’étudier la science de la psychée mais aussi et surtout, une personne ayant mené à leur terme, 5 années d’études pour obtenir le titre d’une profession protégée.

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  • Le psychologue a suivi une formation longue (un cycle de formation au cours duquel des stages professionnalisants et encadrés, de plusieurs centaines d’heures, sont obligatoires), de haut niveau, fondamentale et appliquée. Le coaching est, quant à lui, enseigné dans le cadre de formations courtes, de quelques centaines d’heures maximum.
  • Le coach (s’il n’est pas diplômé d’un master de psychologie) ne peut faire que l’usage d’un adjectif (au sens grammatical du terme) tandis que le psychologue fait l’usage du titre protégé d’une profession. Le terme de coach n’est pas un titre protégé et quiconque peut, s’il le souhaite, en faire l’usage. Pour pallier cet inconvénient, certains coach se disent certifiés, pour se distinguer de ceux qui ne le sont pas. Cela étant, la certification d’un coach n’engage que l’organisme de formation qui la remet et, n’est pas un gage reconnu de qualité.

L’usage du terme « Psychologue »

A défaut de pouvoir écrire « Psychologue » sur leurs cartes de visite (puisque le titre est dorénavant protégé), les coachs peuvent être tentés de faire l’usage de l’adjectif qualificatif.

« En grammaire, on appelle adjectif (ou nom adjectif) une catégorie de mot qui s’adjoint au nom pour exprimer une qualité (adjectif qualificatif), une relation (adjectif relationnel) ou pour permettre à celui-ci d’être actualisé dans une phrase (adjectif déterminatif). L’adjectif se distingue notamment du déterminant par sa distribution dans la phrase. » (Source)

En lisant la suite, vous devriez comprendre que l’usage de l’adjectif est insuffisant pour que le « coach », qui souhaite se distinguer du déterminant, réussisse à se positionner efficacement.

L’usage du titre de psychologue

Il faut savoir que moins de 10 universités françaises forment chaque année en France plusieurs dizaines de milliers d’étudiants au cours de leurs 3 premières années d’études dans le domaine des sciences humaines et de la psychologie. Cependant, seulement quelques dizaines d’étudiants par faculté se voient munir du titre de psychologue dans chaque spécialité, au terme de leur 5ème année d’étude. Ce sont finalement quelques centaines de psychologues qui arrivent sur le marché du travail chaque année en France.

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  • Le coach n’est pas contraint de faire l’usage de techniques et d’outils dont la validité scientifique a été obtenue. A titre d’exemple, le coach (s’il n’est pas en possession du titre de psychologue), n’a pas la capacité d’acheter et d’utiliser (faire passer, analyser, restituer) les tests répondants au standard de l’American Psychological Association (APA) et de l’European Test Publishers Group (ETPG).
    Précisons toutefois que certains éditeurs de tests sont moins regardants que d’autres, pour ce qui concerne la remise d’une certification préalable requise pour l’utilisation de leurs tests (l’objectif de commercialisation peut être supérieur à la volonté de faire preuve d’éthique).

Les ECPA par exemple, dans leurs conditions générales d’utilisation, définissent la notion de professionnels compétents comme suit :

« En raison de la nature scientifique des tests, des conditions de leur utilisation requérant une compétence spécifique et dans l’intérêt des personnes qui y sont soumises, la vente des tests des ECPA est réservée aux personnes possédant les titres, les qualifications ou les habilitations professionnelles adéquates à l’utilisation des tests notamment :

Ces principes sont conformes aux Standards for Educational and Psychological Tests, définis en 1985 et adoptés par des organisations telles que l’American Psychological Association (APA) ; Les mêmes standards ont été acceptés par l’European Test Publishers Group (ETPG) auquel adhèrent les ECPA et par l’International Test Commission (ITC).

A chacun des tests et des matériels diffusés par les ECPA est associé un type de titre, de qualification ou de certification nécessaire. » 

« Utilisation des outils ECPA – Le test est un outil professionnel. L’utilisateur, habilité, veille à l’employer dans sa version originale et dans sa globalité afin de lui conserver sa validité et sa pertinence. Ces recommandations visent également à limiter les reproductions de tout ou partie d’un test par les médias ou dans des ouvrages, dont la divulgation dévalue le contenu du test et la pratique psychologique (art. 25 du code de déontologie des psychologues). L’utilisateur s’engage aussi à protéger les contenus des tests en ne les divulguant pas auprès de tiers non-compétents. Le client est tenu de prendre les mesures nécessaires pour garantir le respect des présentes conditions d’utilisation des produits ECPA y compris si il prête ou cède le produit à un tiers réputé compétent. Les ECPA ne sont en aucun cas responsables des dommages de quelque nature que ce soit qui pourraient résulter d’un mauvais usage de ses outils. Le candidat, le patient ou plus généralement le client du client des ECPA ne pourra faire valoir aucun droit auprès des ECPA. Si la responsabilité des ECPA était mise en cause, les ECPA se réservent le droit de réclamer à son client réparation pour les dommages causés. »

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  • Le psychologue est tenu de respecter le code de déontologie des psychologues.
  • Le coach n’a pas à sa disposition de code de déontologie qui soit unique et spécifique à l’exercice de sa profession.

 

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  • Le coach ne dispose pas d’un numéro ADELI, contrairement au psychologue. On estime, grâce à ce répertoire qui consiste en l’enregistrement des diplômes des professionnels de santé, du social et d’usagers de titres professionnels du champ sanitaire, qu’il y aurait entre 45 000 et 50 000 psychologues en exercice en France. Le dénombrement des coachs est, quant à lui, impossible.

« Le titulaire de diplômes permettant l’usage professionnel du titre de psychologue en France a obligation de s’inscrire au répertoire ADELI, à la Délégation territoriale départementale (D.T.D.) du département du lieu d’exercice afin d’être enregistré sur un fichier en qualité de psychologue, par spécialité. À la suite de cet enregistrement, il lui est délivré une attestation mentionnant, entre autre, son numéro d’enregistrement (circulaire DHOS/DREES/2002/143 du 21 mars 2003 relative à l’enregistrement des diplômes de psychologues au niveau départemental). »

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    • Le coach n’exerce pas une profession reconnue, si l’on se réfère au fait qu’aucun code NAF lui est spécifique.
    • Le Code INSEE NAF APE 86.90F est celui attribué aux psychologues, psychanalystes, et psychothérapeutes (NAF rév. 2, 2008, édition 2015 – Sous-classe 86.90F Activités de santé humaine non classées ailleurs).

 

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  • Le coach sait probablement mieux se vendre et vendre ses services, qu’un psychologue.
  • Le psychologue est perçu (et formé ?) dans notre culture comme un intervenant dont les qualités requises sont la neutralité bienveillante, l’humilité et la discrétion. Il est réputé ne pas avoir à (voire, ne pas devoir) faire de publicité pour promouvoir ses services. Dans notre société, il est admis que le client ou le patient sollicite le psychologue, non l’inverse. Son intervention est d’ailleurs conditionnée au fait qu’une demande lui est formulée. Susciter la demande serait une technique manipulatoire contraire à la posture éthique du psychologue.

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Le terme coach est apparu en France dans le football, grâce à Aimé Jacquet…

(Extrait) Le Suicide français, Eric Zemmour, Éditions Albin Michel, 2014, chapitre « 12 juillet 1998 Black-blanc-beur » :

«Cette victoire que la France avait effleurée en 1982 et 1986, et qu’à chaque fois les Allemands avaient arrachée des mains de l’équipe de Platini, (…) cette victoire préparée avec un soin méthodique par le « coach » (c’est alors qu’on découvrit ce mot) Aimé Jacquet dans un petit carnet qu’il tenait serré dans ses bras comme un bébé (…).»

Une recherche effectuée sur le terme « coach », dans le Répertoire Officiel des Métiers et des Emplois, place en effet le « coach sportif » en premier résultat (cf. liste des appellations métiers de chacun des 3 domaines ci-dessous) :

La même requête avec le terme « psychologue » donne 8 résultats dans les fiches métiers du Répertoire Officiel des Métiers et des Emplois.

Tandis que le coach intervient au service du développement du bien-être, des compétences et des performances sportives des individus, le psychologue, selon sa spécialité, rappelle Patrick Cohen (Psychologue, Directeur du CRIP, dans le bulletin n°238 du Syndicat National des Psychologues d’avril 2015, P.34), est « appelé à intervenir auprès de la personne, auprès des groupes et auprès de l’entreprise. La spécificité du psychologue est d’occuper une position tierce au sein de la dyade « salarié/entreprise ». (…) Qu’il le veuille ou non, il est et doit se positionner dans cette relation triangulaire dans le cadre d’une implication distanciée. Le fait d’être au service de l’un ET de l’autre signe l’intervention psychologique : il est auprès de l’entreprise et du salarié« .

Le coach n’a pas les mêmes clients ni la même posture que le psychologue.

Lorsque le coach intervient dans le cadre d’une commande passée par un particulier, il s’installe dans une relation duelle, faisant, par définition, abstraction du contexte dans lequel son client interagit avec son environnement personnel ou professionnel.

Mais, lorsque le coach est appelé par la direction à intervenir au sein de l’entreprise, selon vous, pour le compte de qui le coach intervient-il ? Si le client du coach est la direction, et puisqu’il n’est pas formé à la distinction entre la commande et la demande, ni conscient de sa potentielle instrumentalisation, son intervention risque de faire l’économie de la place des salariés dans une triangulation inexistante, et l’instauration d’une dyade.

« Le psychologue ne fait qu’accompagner le processus missionné par les deux parties. Il conseille l’un et l’autre sans jamais se mettre à leurs places. Il ne décide pas, mais permet aux autres de comprendre, choisir et assumer leur décision« , ajoute Patrick Cohen.

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Dans le bulletin n°239, juin 2015, du Syndicat National des Psychologues, P. 19, Isabelle Wijers (Présidente de Psy TOPACA, Secrétaire de la commission Champ du travail SNP), répond à la question « qu’est-ce qui différencie le psychologue du travail et des organisations d’un coach consultant ou d’un autre professionnel ? » comme suit :

« Si le coaching est l’art d’accompagner une personne ou une équipe dans l’atteinte de ses objectifs par la mise en action et le développement de son autonomie, alors non seulement les psychologues peuvent le faire, mais ils le font avec en plus la connaissance de la psychologie de l’individu, de la psychodynamique de groupe, de la psychopathologie et des risques psychosociaux. Notre formation longue, de haut niveau, fondamentale et appliquée nous permet d’analyser, de poser un diagnostic et d’intervenir tant au niveau des individus, des groupes que des organisations ».

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  • Le coach n’est ni formé ni compétent pour prévenir ou guérir les troubles psychopathologiques ainsi que leurs manifestations sous la forme de symptômes. En conséquence, la distinction entre le normal et le pathologique pourra être complexe pour ce professionnel. Certaines situations personnelles ou professionnelles conduisent les personnes à des « décompensations » ou à une « dissociation de la personnalité ». Si le coach, engagé dans une relation de coaching avec son client, n’est pas conscient de ce risque et/ou ne prend pas les dispositions requises dans ce type de situation, il peut faire courir un risque d’atteinte à l’intégrité de la santé mentale de son client.

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Différence n°10

  • L’article 3 du code de déontologie des psychologues détaille la mission fondamentale du psychologue : « faire reconnaître et respecter la personne dans sa dimension psychique. Son activité porte sur la composante psychique des individus, considérés isolément ou collectivement » et, l’article 4 de ce même code indique que « Le psychologue peut exercer différentes fonctions à titre libéral, salarié ou d’agent public. Il peut remplir différentes missions, qu’il distingue et fait distinguer, comme le conseil, l’enseignement de la psychologie, l’évaluation, l’expertise, la formation, la psychothérapie, la recherche, etc. Ces missions peuvent s’exercer dans divers secteurs professionnels. » Rappelons que le psychologue a étudié l’une ou plusieurs des spécialités suivantes au cours de sa formation : psychologie du travail et des organisations, psychosociologie, psychopathologie, psychologie clinique, psychologie du développement (dont celle de l’enfant), psychologie différentielle, psychologie expérimentale.
  • Le périmètre d’intervention du coach est, quant à lui, axé sur l’accompagnement individuel et la formation, généralement dans le cadre d’un exercice libéral et, complémentaire d’une autre activité.

Conclusion

Si ce billet aura permis aux lecteurs :

  1. de découvrir les différences entre un psychologue et un coach (non en possession d’un titre de psychologue),
  2. d’identifier les motifs et situations qui justifient le recours à l’un ou à l’autre,

alors, il aura atteint son objectif.

7 réponses
  1. Carole Blancot
    Carole Blancot dit :

    Bonsoir Curieux et merci pour votre commentaire. Si le psychologue peut vendre ses services en tant que coach, l’inverse n’est pas vrai. Si certaines de mes consoeurs usent de cette terminologie dans le cadre de leur pratique, je ne souhaite pas faire ainsi et, c’est la raison de ce billet de blog. Il permet de répondre aux premières interrogations de nos interlocuteurs qui ont déjà eu à faire à des coachs, et qui souhaitent comprendre ce que le psychologue peut apporter de plus ou de différent. Par ailleurs, je vous invite à revoir le concept du transfert. Cordialement

  2. Curieux
    Curieux dit :

    Bonjour. « Curieux » ! En ce cas de proposer 10 différences entre votre métier et une profession que vous ne connaissez pas. Cela induit probablement une différence de traitement. Sans doute un transfert? 😉

  3. Carole Blancot
    Carole Blancot dit :

    Bonsoir « Clem », comme le titre de cet article l’indique, il s’agit d’éclairer les lecteurs sur 10 différences entre un psychologue et un coach.Etant psychologue, je ne me sens absolument pas compétente pour définir ce qu’est un coach. Cependant, je pense important de définir ce qu’un coach n’est pas, c’est à dire un psychologue. Vous évoquez « vos salariés en demande », j’aimerais en savoir plus sur la raison de l’article possessif et aussi celle de leur demande. Ainsi, je pense limiter votre déception 😉
    Bonne soirée

  4. Clem
    Clem dit :

    N’étant ni psychologue ni coach, je vous avoue que je m’attendais à lire un billet me permettant de discerner les cas où le recours à l’un ou l’autre de ces professionnels est les plus profitable pour la personne concernée.
    Je suis un peu déçu de trouver un texte défendant la spécificité des psychologues s’appuyant sur la reconnaissance de leurs compétences et non sur les bénéfices concret pour leurs patients. Cet aspect donne à ce billet des accents corporatistes tirant sur la défense du « gentil psychologue qui a fait des études » face au « méchant charlatan coach qui recherche le sale et ignoble pognon sans déontologie ». Une sorte de remake du débat taxis contre Uber en somme.

    Et moi dans tout ça je ne sais qui conseiller à mes salariés en demande… Dommage.
    Un titre mieux adapté aurait pu éviter cette déception.

    Bine a vous.

  5. DominiqueRabeuf
    DominiqueRabeuf dit :

    Et ce n’est qu’un moindre mal quand on considère les multiples générations spontanées de trucopathes illuminés par les sciences au logis.
    Voir par exemple les naturopathes holistiques.
    Je pense que je vais créer une secte comme les révélations de La Grande Camelo Pardalis ou les frères et sœurs de la comète TooPointZéro

  6. François GEUZE
    François GEUZE dit :

    Bonjour Carole et merci de ce petit inventaire. Pour réagir aux quelques commentaires présents sur Linkedin, et me faire quelques amis supplémentaires dans la profession des coachs … (je ne parlerais ici que des coachs ayant la prétention d’intervenir en entreprise et pas de mon merlan/coiffeur qui est devenu par la magie des buzz-word un coach capilliculteur ou des autres coachs en drague, en fitness, etc… )

    Je ne pense pas que les coachs connaissent mieux l’entreprise que les psychologues (y compris que les cliniciens), d’autant que tout le monde peut marquer coach sur sa carte de visite dans le moindre problème et que cette profession gagnerai sacrément à faire un profond ménage dans ses rangs.

    Je rajouterais un 11eme point de différence, la facilité qu’on certains coachs a sortir de leur champ d’intervention pour faire tout et n’importe quoi (notamment parce que le coaching est un business et que seul un petit nombre de coachs arrive à en vivre décemment – j’ai par ailleurs l’impression que les seuls qui en vivent plutôt grassement sont les écoles de coaching)… l’un des exemples les plus récents étant ces coachs qui s’improvisent consultants en organisation pour faire de l’entreprise libérée et discourent sur certains groupes linkedin sur la meilleure manière de pousser les gens à la démission (j’ai des noms)…

    un 12eme point qui m’inquiète au plus haut point, au sein du coaching, l’on assiste (j’en ai identifié la aussi) assez fréquemment à des dérives de nature sectaire

    et un 13eme concernant le rapport plus que distant du coaching à la méthode et à la rigueur scientifique ce qui leur permet de gober bien souvent n’importe quoi et n’importe quelle étude (bidon) de bien packagé. Il suffit pour s’en convaincre de les regarder s’engouffrer dans la mode du mindfullness actuellement, en attendant la suivante …

    Bien entendu ces trois points supplémentaires ne concernent pas tous les coachs, loin s’en faut. Toutefois ces dérives existent et alors que la profession de psychologue sait faire le ménage dans ses rangs (même si j’estime que c’est insuffisant) ce n’est absolument pas le cas de la formation des coachs (je suis toujours en attente des nouvelles de ma plainte déposer auprès des groupes de déontologie des asso de coachs concernant les coachs dont je faisait mention dans le point 11)…

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